Le Premier ministre Orbán : les partis au pouvoir en Hongrie sont « l'opposition à une Bruxelles pro-immigration »

Les partis au pouvoir en Hongrie sont « l'opposition à un Bruxelles pro-immigration », a déclaré le Premier ministre Viktor Orbán dans une vidéo publiée mardi sur Facebook.

S'exprimant à l'issue d'une réunion du conseil d'administration de son parti au pouvoir, Orbán a déclaré que les députés européens du Fidesz « en lutte à Bruxelles » avaient présenté « un rapport du champ de bataille ». Il a dit L’UE a « lancé une campagne de mensonges » contre la Hongrie en affirmant que ce pays n’était pas obligé d’accueillir des migrants illégaux.

Il a déclaré que la Hongrie s'opposait au pacte migratoire de l'UE parce qu'il obligerait les États membres à autoriser l'entrée des migrants et à créer des « ghettos de migrants, démantelant complètement le système de protection des frontières hongrois ».

Orban a dit

La Hongrie a dépensé jusqu’à présent environ 2 milliards d’euros en contrôles aux frontières et « mérite une récompense plutôt qu’une punition ».

« En matière de migration, il suffit d’une seule erreur : les pays dotés de gouvernements et de dirigeants faibles ont laissé entrer les migrants et ne pourront jamais s’en débarrasser », a-t-il déclaré.

« Nous ne permettrons pas cela… ils peuvent nommer un gouverneur ou installer un gouvernement fantoche, mais nous ne céderons pas », a-t-il déclaré tandis que la vidéo montrait des images de Péter Magyar, le leader du parti d'opposition Tisza.

lire aussi: 

Le conseiller du Premier ministre Orbán préoccupé par le pacte migratoire de l'UE

Orban : L'Occident panique face à l'immigration, le plus grand problème qui menace de déchirer l'UE

Un commentaire

  1. Certains des problèmes causés par les politiques d’immigration de Bruxelles :
    – augmentation de la criminalité, notamment contre les femmes et les filles
    - pression supplémentaire sur le marché immobilier
    - une inflation plus élevée en raison du coût de l'entretien des migrants sans instruction
    -établissement de zones interdites
    - groupes inassimilables, les musulmans turcs sont toujours des musulmans turcs et non des allemands après 30 ans
    - une pression accrue sur les services, par exemple médicaux et éducatifs
    -augmentation des exportations de devises
    -traitement des femmes européennes comme des citoyennes de seconde classe
    ***La migration n’a pas eu une seule qualité positive rédemptrice.

Laissez un commentaire

Votre adresse courriel n'apparaitra pas. Les champs obligatoires sont marqués *