Michel de l'UE révise son plan de relance pour répondre aux préoccupations
Le président du Conseil européen, Charles Michel, a présenté vendredi une proposition révisée qui comprend une réduction mineure du budget septennal de l'Union européenne (UE) dans le but d'obtenir le feu vert pour son nouveau plan de grande envergure visant à relancer l'économie européenne.
L'objectif de la réduction, de 1.1 billion d'euros (1.24 billion de dollars américains) à 1.074 billion, est d'essayer d'apaiser les Pays-Bas, la Suède, le Danemark et l'Autriche, qui ont été sévères dans leurs critiques du paquet précédent.
Un document obtenu par Xinhua indique que la nouvelle proposition a été faite "sur la base de consultations approfondies" tenues entre Michel et les chefs d'État et de gouvernement des États membres, et qu'elle "présente une solution équilibrée répondant aux intérêts et aux positions de tous les membres". États."
Une semaine avant que les dirigeants de l'UE ne se réunissent pour leur première réunion physique depuis le début de la crise des coronavirus, Michel a déclaré lors d'une conférence de presse vendredi qu'il était "optimiste" quant à l'acceptation du nouveau paquet.
Le paquet qu'il a présenté combine le budget de sept ans - officiellement connu sous le nom de cadre financier pluriannuel (CFP) - et un plan de relance en cas de pandémie de coronavirus, fixé à 750 milliards d'euros à allouer sous forme de subventions et de prêts aux pays et secteurs touchés.
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Présentant son nouveau paquet, Michel a déclaré que les objectifs de la reprise peuvent se résumer en trois mots : convergence, résilience et transformation. A travers ce plan, qu'il a décrit comme un outil ponctuel pour une situation exceptionnelle, il a dit espérer que l'Europe pourra réparer les dégâts causés par le COVID-19, réformer les économies et remodeler les sociétés.
Michel a confirmé que les pays bénéficiant de rabais de longue date sur leurs contributions européennes continueraient à en bénéficier. Ces pays sont le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Autriche et la Suède.
Il a déclaré que les États membres de l'UE auraient plus de pouvoir sur la manière dont le fonds de relance serait distribué, donnant aux capitales des États membres plus de pouvoir sur les plans de dépenses de leurs voisins.
Il a proposé de préserver l'équilibre entre les prêts, les garanties et les subventions pour éviter de surcharger les États membres avec des niveaux d'endettement élevés.
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Répondant aux préoccupations concernant le remboursement au début du prochain cycle budgétaire et au manque de ressources propres pour financer le remboursement, Michel a déclaré qu'il proposait que les remboursements commencent plus tôt en 2026, deux ans avant ce qui était initialement prévu.
En juin, les dirigeants de l'UE ont critiqué le paquet initial et le Parlement européen a plaidé mercredi en faveur d'un plan amélioré qui peut aider les économies européennes non seulement à survivre à la crise actuelle, mais aussi à en sortir renforcées et prêtes à affronter les défis des prochaines années.
La source: Xinhua
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1 Commentaires
Ainsi, le président du Conseil européen, Charles Michel, a - après de « larges consultations » – « révisé » le « plan européen de relance contre le coronavirus » en :
1. s'assurer que l'Autriche, le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède continuent de bénéficier de "rabais" sur leurs contributions à l'UE (comme c'est RIDICULE et TRÈS INJUSTE !) ;
2. maintenir "l'équilibre entre les prêts [c'est-à-dire les sommes qui doivent être REMBOURSÉES] et les subventions [c'est-à-dire l'ARGENT GRATUIT - pour la France / la Grèce / l'Italie / le Portugal / l'Espagne]" afin que les pays recevant les "gratuits" puissent "éponger" le reste de l'Europe pendant encore dix ans ;
3. une "réduction mineure" du budget sur sept ans (devinez qui recevra le moins d'argent – les nations du V4 !).
Aucune mention n'a été faite par lui des nombreuses "conditions" qui sont attachées aux nations de l'UE recevant de l'argent via ce plan (qui ne sont que brièvement décrites dans des pages de "gobble-de-gook" juridiques écrites par les mêmes "experts" juridiques sournois qui tentent de « crucifier » la Hongrie depuis des années).
Il annonce ensuite unilatéralement qu'il est "optimiste" qu'il sera adopté par les dirigeants européens la semaine prochaine.
Ce n'est rien d'autre qu'un CON géant mis en avant par un CONMAN qui parle vite et qui n'écoute personne sauf ses "maîtres des marionnettes" (Macron et Merkel, qui ne se préoccupent que de sauver leur propre vie politique) et les "Pink Poodles" (= poofie-woofie bureaucrates) de Bruxelles, qui n'ont jamais été élus du tout !
En tant que tel, il devrait être REJETÉ par la Hongrie et tous les autres pays de l'UE qui veulent «l'équité» dans toute décision majeure de l'UE.