L'ancien député du parti LMP András Schiffer soutient le syndicat des salaires avec le concept
András Schiffer a signé pour le syndicat des salaires à la station de métro Árpád Bridge à Budapest. Travaillant actuellement comme avocat, l'ancien député de La politique peut être différente (Lehet Más a Politika – LMP) parti a parlé au portail d'information d'Alfahír sur le stand de Jobbik installé dans le district 13 de Budapest.
Pourquoi avez-vous senti que vous deviez soutenir l'initiative syndicale salariale ?
En plus d'être d'accord avec le concept, je pense qu'il est vital que les décideurs de l'UE fassent enfin quelque chose contre les inégalités salariales croissantes, en d'autres termes, l'énorme fossé entre l'Europe de l'Est et l'Europe de l'Ouest. Cependant, aucun résultat ne peut être obtenu si nous n'agissons pas à la fois au niveau de l'UE et au niveau hongrois. D'un autre côté, nous devons également préciser que tant qu'un État membre, par exemple la Hongrie, a un gouvernement dont l'objectif premier est d'être compétitif sur le marché du travail avec de bas salaires, nous ne pouvons obtenir qu'un succès limité en termes d'augmentation salaires.
Mais il en va de même dans l'autre sens : si les pays de la périphérie de l'UE ont des gouvernements qui veulent utiliser les bas salaires comme avantage concurrentiel, c'est parce que l'Union européenne a été créée sur cette logique. Il est temps de commencer à penser à une Europe différente et c'est de cela qu'il s'agit. Construite sur le principe des quatre libertés, l'UE applique une logique hypocrite de libre-échange : la libre circulation des travailleurs sans donner un salaire égal pour un travail égal n'est rien d'autre qu'un outil pour une nouvelle colonisation.
L'UE doit être réformée, c'est clair. Mais pourquoi l'idée n'est-elle pas soutenue par les partis de gauche et le gouvernement ?
L'exigence du « salaire égal pour un travail égal » est un principe social-démocrate traditionnel. Quant à savoir pourquoi Jobbik est celui qui a eu l'idée, ni Jobbik ni les signataires n'ont besoin d'en rendre compte. D'un autre côté, les forces qui se disent de gauche mais qui sont souvent sous tutelle néolibérale ont effectivement des explications à donner.
La réponse à l'initiative révèle tout : le fait que les médias « royaux » [pro-gouvernement] demandent au candidat libéral du Premier ministre Tamás Lattmann de supprimer le syndicat des salaires est un signe clair que la Hongrie, malgré tout le déguisement, a un gouvernement avec une politique économique néolibérale alors qu'une partie importante de l'opposition est en fait de droite bien qu'elle se qualifie de libérale de gauche.
La source: Communiqué de presse – jobbik.com
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