Voici pourquoi Orbán n'a pas opposé son veto aux sanctions de l'UE contre la Russie : un appel téléphonique de Washington

Tous les six mois, l'UE renouvelle ses sanctions contre plus de 2,400 XNUMX personnes et entités, principalement russes. C'est une excellente occasion pour le gouvernement hongrois, qui utilise fréquemment le veto comme arme politique, d'obtenir des concessions de la Commission européenne. Cette fois, il a cherché à rayer de la liste des oligarques proches de Poutine, mais un appel téléphonique de Washington a permis la levée du veto.

L'importance pour Viktor Orbán d'écarter ces personnes proches de Poutine n'a pas été expliquée, mais cela renforce les théories de ceux qui, depuis des années, perçoivent l'influence de Moscou sur les actions du gouvernement hongrois. Parallèlement, l'administration Trump a quelque peu semé la zizanie en soutenant actuellement les sanctions de l'UE. Selon PoliticoLe gouvernement hongrois a décidé de lever son veto sous la pression américaine. La publication, citant deux sources diplomatiques anonymes, rapporte que le secrétaire d'État américain Marco Rubio a appelé le ministre hongrois des Affaires étrangères Péter Szijjártó et l'a exhorté à ne pas bloquer les sanctions de l'UE contre la Russie.

Cela expliquerait pourquoi le gouvernement hongrois a levé son veto vendredi, moins de 48 heures avant l’expiration des mesures.

Détails ICI: La Hongrie ne voterait pour l'extension de la liste des sanctions de l'UE que si un oligarque russe en était retiré.Une communauté de 450 millions d’habitants n’aurait pas pu faire appliquer sa décision en raison du veto d’un pays de moins de 10 millions d’habitants, ce qui provoquait déjà une tension extrême dans les cercles diplomatiques de l’UE.

Europe libre a rapporté que l'homme d'affaires russe Viatcheslav Moshe Kantor, le ministre russe des Sports Mikhaïl Degtyarev, l'homme d'affaires Vladimir Rashevsky et Gulbahor Ismaylyova, frère de l'oligarque russe Alisher Usmanov, seraient retirés de la liste des sanctions. L'article ajoutait que le gouvernement hongrois avait initialement demandé le retrait de huit personnes de la liste, dont les hommes d'affaires russes Dmitri Mazepine, Mikhaïl Fridman, Piotr Aven, Musa Bazhaev et Usmanov. Cependant, les 27 pays de l'UE ont finalement convenu que seul un quelques noms seraient supprimés.

Les sanctions doivent être prolongées tous les six mois avec l'accord de tous les États membres, et de nouvelles exigences pro-russes seront probablement formulées à l'UE en échange du vote de la Hongrie.

3 Commentaires

  1. Ah oui, la véritable hypocrisie… le gouvernement hongrois est influencé et se fait dire quoi faire par l’idiot orange, tandis que les fascistes du Fidesz vont à l’encontre de leur opposition parce qu’ils « sont sous les ordres de la gauche mondiale ».

  2. « La Mère Russie » sera FURIE – si cet article est un FAIT.
    Le « valet » Trunp et son gouvernement Fidesz – si cela s’avère être un FAIT – seront la cause d’actions de REPRÉSAILLES.
    « Victor, nous sommes une FAMILLE ».
    Vous ne nous trahissez pas, vous n’annulez pas notre RELATION et notre PARTENARIAT – nos projets, objectifs et aspirations futurs.
    Victor, actes de « trahison » l’histoire de la « Mère Russie » ne fait pas d’une lecture « agréable » les actions infligées à ceux qui TRAHISSENT notre cause.
    J’ADORE être une « mouche sur le mur » – même si en partie, cet article est VRAI.
    Qu’il s’agisse de la VÉRITÉ ou même en partie de la VÉRITÉ, elle fait ressortir l’accord de fonctionnalité qu’Orban et le parti Fidesz ont « signé » avec la « Mère Russie ».
    Au niveau mondial, pas seulement en Europe, dans l’Union européenne, mais dans le monde entier, dans les pays gouvernés par la DÉMOCRATIE et non par des dictatures, l’ACCEPTATION des actes de « trahison » contre la DÉMOCRATIE qui ont été perpétrés par Orban et son gouvernement Fidesz contre la DÉMOCRATIE.

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