La Hongrie sous surveillance alors que le Parlement européen envoie une délégation d'enquête urgente pour évaluer l'état de droit

Le Parlement européen va envoyer en avril une mission d'enquête en Hongrie pour évaluer l'état de droit dans le pays. L'enquête portera notamment sur les réformes judiciaires et les problèmes de corruption. Ces dernières années, l'UE a critiqué à plusieurs reprises la Hongrie pour son affaiblissement des normes démocratiques et franchit aujourd'hui une nouvelle étape dans cette direction.
Les institutions européennes s'inquiètent depuis longtemps de l'état de droit en Hongrie. Plusieurs actions récentes ont attiré l'attention de la communauté internationale. Par exemple, le Bureau de protection de la souveraineté a pris pour cible des ONG, la police a perquisitionné les bureaux de l'Autorité pour l'intégrité et le gouvernement a introduit des réformes judiciaires étroitement liées à l'augmentation des salaires des juges.
D’après mot folkloriqueLa mission de la délégation a pour objectif d'obtenir des informations directes sur la situation sur le terrain. Plusieurs groupes politiques du Parlement européen soutiennent cette enquête, malgré le récent glissement de la composition politique du Parlement vers la droite. Les membres de la délégation rencontreront également des représentants d'organisations publiques et de la société civile afin d'obtenir une image plus complète de l'État de droit.

La cible de l'enquête du PE
La délégation est coordonnée par la députée verte néerlandaise Tineke Strik, rapporteure parlementaire sur l'État de droit en Hongrie. Sa tâche consiste à rédiger un rapport qui reflète la position majoritaire du Parlement européen. Le Parlement s'est déjà montré très critique à l'égard de la Hongrie dans ses précédents rapports, et la nouvelle délégation devrait confirmer les inquiétudes précédentes.
- Réformes judiciaires : Assurer l’indépendance du pouvoir judiciaire et réduire l’influence du gouvernement.
- Lutte contre la corruption : Suivi de l’utilisation transparente des fonds de l’UE.
- Liberté des médias : Évaluer l’indépendance de la presse et l’étendue de l’influence du gouvernement.
L'Union européenne a déjà pris des mesures pour faire face aux préoccupations liées à l'État de droit. En 2018, une procédure au titre de l'article 7 a été lancée, qui pourrait, en principe, conduire à la suspension du droit de vote de la Hongrie. Cependant, la procédure est au point mort depuis lors, car les États membres n'ont montré aucune volonté de prendre les décisions nécessaires.

Selon un rapport du Parlement européen publié en avril dernier, la Hongrie est devenue une sorte d’« autocratie électorale » et ne respecte pas les normes démocratiques de l’UE. La Commission a tenté d’imposer des réformes, mais leur efficacité est discutable. La nouvelle enquête évaluera également l’impact des réformes proposées précédemment.
La stratégie d'Orbán et ce à quoi il faut s'attendre
Ces dernières années, le gouvernement hongrois s'est de plus en plus opposé aux institutions européennes et a développé son propre discours sur le débat relatif à l'État de droit. Viktor Orbán et les médias pro-gouvernementaux présentent souvent les critiques de l'UE comme des « attaques de Bruxelles », tandis que certaines actions du gouvernement suscitent des inquiétudes croissantes parmi les partenaires de l'UE.
Tineke Strik a déclaré que les développements politiques internationaux, comme la présidence de Donald Trump et la montée des forces d'extrême droite en Europe, pourraient être un encouragement pour Orbán. Cependant, l'UE tente de plus en plus d'utiliser des instruments pour défendre l'État de droit, comme les sanctions financières ou les poursuites judiciaires.
Le gouvernement hongrois devrait s'opposer aux conclusions du Parlement européen et continuer à renforcer son propre discours dans sa communication de politique intérieure. Cependant, il sera crucial pour les décideurs de l'UE de déterminer s'il convient de maintenir le statu quo ou de prendre des mesures plus strictes à l'encontre de la Hongrie. Ce qui est certain, c'est que la situation de l'État de droit en Hongrie restera une question prioritaire dans l'UE, et de nouveaux développements sont attendus dans les mois à venir.
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