Le Fidesz d'Orbán s'oppose fermement à la répartition obligatoire des migrants

La répartition obligatoire des migrants sur la base de quotas pose problème depuis plusieurs années en Europe, a déclaré dimanche à la radio publique l'eurodéputé Fidesz Balázs Hidvéghi, à propos du nouveau paquet asile et migration de l'UE.
Le nouveau paquet permettrait au Conseil européen de prendre des décisions sur des questions ayant un impact sur la vie des Hongrois à long terme, a-t-il déclaré. On peut s'attendre à ce que d'autres séries de consultations trilatérales soient organisées par le Conseil européen, le Commission européenne et le Parlement européen, Hidveghi » a déclaré, ajoutant qu'après de nouveaux débats au Parlement européen, le paquet pourrait être adopté, ce qui « va ouvertement à l'encontre des intérêts nationaux des États membres ».
Il a noté que la Hongrie et la Pologne avaient voté contre le migration plusieurs fois, la Tchéquie, la Slovaquie et l'Autriche s'abstenant ou votant également contre. Hidvéghi a qualifié de sérieux problème le fait que le paquet qui touche « un large spectre de la société » puisse être adopté à la majorité qualifiée au lieu d'une décision unanime.
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« La migration illégale est devenue l’un des plus grands défis pour l’Europe. Une forte protection des frontières, une volonté politique et des accords conclus avec les pays d'où viennent les migrants sont la réponse à la pression croissante exercée par la migration aux frontières de la Hongrie », a-t-il déclaré. Hidgveghi a souligné l'importance de la stabilisation des Balkans également à travers l'intégration des pays de la région qui ne sont pas encore membres de l'UE.
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Ce qui est choquant, c’est que SEUL le Fidesz s’y oppose fermement. TOUS les partis politiques hongrois devraient l’être !
Nos politiciens adorent se vanter du nombre de réfugiés ukrainiens (« plus d’un million ! ») qui ont traversé la frontière hongroise. Pourtant, seuls 32260 XNUMX sont finalement restés :
https://www.consilium.europa.eu/en/infographics/ukraine-refugees-eu/
Quelle aurait été notre « juste part » ? Ou peut-être aurions-nous dû adhérer au point de vue de nos politiciens, selon lequel les réfugiés devraient rester dans le premier « pays sûr » où ils entrent ?