Les partis au pouvoir vont boycotter la réunion du comité de sécurité nationale
Les législateurs du Fidesz au pouvoir allié et des chrétiens-démocrates ont annoncé qu'ils allaient rester à l'écart de la réunion de jeudi de la commission parlementaire de sécurité nationale convoquée pour la deuxième fois par le chef de l'organisme pour discuter des questions concernant le soi-disant plan Soros sur la migration.
Les partis au pouvoir ne "permettront pas à l'opposition d'utiliser même la sécurité nationale pour promouvoir la mise en œuvre du plan Soros à un moment où la Hongrie est exposée à d'énormes pressions pour laisser entrer les migrants et démanteler la clôture frontalière", a déclaré le service de presse du Fidesz. dit le groupe parlementaire.
"Les représentants de Soros siègent déjà au comité", a-t-il ajouté.
Le président Zsolt Molnár, des socialistes de l'opposition, a convoqué l'organisme dans le même but par Jle 25 janvier, mais ses membres représentant les deux partis au pouvoir ont organisé un débrayage pour protester contre la présence de Bernadett Szél, co-leader de l'opposition verte LMP et membre du comité. En conséquence, l'assemblée n'a pas atteint le quorum.
Szilárd Németh, le vice-président du comité pour le Fidesz, a confirmé par la suite la position de son parti selon laquelle Szél, qui est également le candidat du LMP au poste de Premier ministre, n'était pas le bienvenu à la réunion car
elle et son parti ont servi les intérêts du financier américain George Soros.
Quelques jours plus tard, Molnár a déclaré aux journalistes que le Premier ministre Viktor Orbán avait de nouveau été invité à assister à la réunion pour fournir des preuves de l'existence du «plan Soros» et clarifier la question de l'admission par la Hongrie de 1,300 XNUMX réfugiés l'année dernière.
La source: MTI
veuillez faire un don ici
Nouvelles Hot
Messes lors du rassemblement de Péter Magyar dans la « capitale du Fidesz » aujourd'hui – PHOTOS
Que s'est-il passé aujourd'hui en Hongrie ? – 5 mai 2024
PHOTOS : Marche des Vivants à Budapest
5+1 faits amusants sur la Hongrie – Certains peuvent surprendre
Le « Premier ministre fantôme » hongrois : il faut une Europe forte
L'Université Széchenyi István présente ses développements aux dirigeants diplomatiques étrangers en Hongrie