La vision du « Nouvel Ouzbékistan » de Shavkat Mirziyoyev conduit le pays vers un État moderne et démocratique

Les anciennes républiques soviétiques ont connu différentes étapes de développement politique, et la trajectoire de l'Ouzbékistan est particulièrement remarquable, avec des progrès remarquables sur les plans politique, économique et social. Le pays est incontestablement en plein essor ; examinons de plus près la vision portée par le président Chavkat Mirzioïev, arrivé au pouvoir en 2016 :
Réformes politiques en Ouzbékistan
En 2017, le président Mirziyoyev a lancé un programme quinquennal connu sous le nom de « Stratégie d’action », visant à améliorer l’efficacité de l’Oliy Majlis (Parlement).
L'objectif principal était d'étendre ses pouvoirs et d'améliorer son efficacité. Dans ce cadre, le soutien technique, financier et informationnel aux parlementaires a été renforcé. Dans un souci de modernisation, de nouvelles unités institutionnelles ont été créées et des plateformes numériques ont été introduites pour faciliter le débat public sur les projets de loi, renforçant ainsi la transparence et la responsabilité de l'exécutif.
Les réformes politiques visaient à approfondir la démocratisation et à préserver l'État de droit. En 2023, une réforme constitutionnelle radicale a été entreprise. Parmi ses nombreux résultats, elle a restreint l'extradition des citoyens, aboli la peine de mort et étendu les droits et libertés humains et civils. Outre le renforcement du rôle du Parlement, le gouvernement a promu la décentralisation par l'élection directe des dirigeants locaux. Le président Mirziyoyev a bénéficié d'un large soutien de l'opinion publique grâce à sa position anti-corruption, son soutien au pluralisme politique et son engagement en faveur du renforcement de la société civile.
J'ai personnellement servi comme observateur lors des élections législatives de l'automne 2024, visitant plusieurs bureaux de vote à Tachkent et dans les zones rurales. J'ai pu constater de visu l'impact des récentes réformes électorales. Dans le cadre du nouveau « système électoral mixte », les élections à la chambre législative ont combiné pour la première fois scrutin majoritaire et proportionnel : 75 députés ont été élus directement par les électeurs, tandis que les 75 autres ont été choisis sur des listes de partis. Les partis devaient obtenir au moins 7 % des voix pour être représentés au parlement (en Hongrie, le seuil est de 5 %). Fait notable, et contrairement à la Hongrie, les autorités ont installé des webcams dans tous les bureaux de vote, permettant à chacun, partout dans le monde, de suivre le vote en direct.
Réformes économiques
Depuis notre point de vue en Europe centrale, nous ne pouvons qu'admirer la transformation qu'a connue l'Asie centrale au cours de la dernière décennie. Le programme du Nouvel Ouzbékistan comprend des réformes économiques de grande envergure, reconnaissant que le changement politique seul est insuffisant sans développement économique – une leçon apprise à l'échelle mondiale.
L'objectif clair était d'établir une économie de marché et de renforcer la compétitivité, ouvrant ainsi des perspectives jusqu'alors inaccessibles à l'Ouzbékistan. Les réformes comprenaient la libéralisation du marché des changes, l'unification des taux de change, la réduction des droits de douane, la modernisation des secteurs bancaire et financier, et une refonte radicale du système fiscal.
Afin d'améliorer l'environnement des affaires, les lourdeurs administratives ont été réduites, les barrières protectionnistes démantelées et des zones franches ont été créées pour attirer les investisseurs étrangers. La modernisation de l'agriculture et de l'industrie, ainsi que le soutien aux petites et moyennes entreprises, ont été prioritaires. Le développement des infrastructures – couvrant l'énergie, le pétrole et le gaz, la gestion de l'eau et la protection de l'environnement – a fait l'objet d'une attention particulière.
La nouvelle stratégie de développement pour 2022-2026 vise à doubler le PIB par habitant, de 1,983 4,000 à 337 1,200 dollars, améliorant ainsi directement la qualité de vie de la population. Il est significatif que, pour réduire sa dépendance à la politique monétaire étrangère, l'Ouzbékistan prévoit d'accroître ses réserves d'or de 2030 tonnes à XNUMX XNUMX tonnes d'ici XNUMX.
Les dirigeants ouzbeks croient en la coopération régionale et s’associent fréquemment à d’autres pays d’Asie centrale sur des infrastructures et des initiatives économiques. Un partenariat stratégique avec la Hongrie a également été établi, englobant des investissements énergétiques tels que le développement de l'énergie nucléaire, ainsi que des avancées technologiques dans l'agriculture et la gestion de l'eau. Ces efforts renforcent non seulement l'économie de l'Ouzbékistan, mais favorisent également le rapprochement entre Tachkent et Bruxelles.

La signature, il y a trois jours seulement, par le voisin du nord de la Hongrie d'un accord de partenariat stratégique avec l'Ouzbékistan illustre une fois de plus la solidité des relations entre l'Ouzbékistan et la Hongrie. La Slovaquie est désormais le quatrième État membre de l'UE – après la Hongrie, la France et l'Italie – à obtenir ce statut, et d'autres devraient suivre grâce à la politique étrangère proactive du président Mirziyoyev.
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Réformes sociales
Au cœur des réformes sociales de l'Ouzbékistan se trouve l'objectif d'améliorer la qualité de vie des citoyens, de protéger les droits de l'homme, de renforcer la protection sociale et de s'attaquer à des secteurs clés tels que l'éducation, la santé, le logement et la réduction de la pauvreté. Le pays coopère activement avec le (United Nations dans la promotion des droits de l’homme, est membre du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies et a initié plusieurs résolutions de l’ONU.
Les organisations internationales reconnaissent que les réformes de Mirziyoyev font progresser de manière irréversible l’égalité des chances, les libertés civiles et le développement de la société civile.
Conclusion
Sous la direction du président Mirziyoyev, le programme « Nouvel Ouzbékistan » vise à démocratiser le système politique, à libéraliser l'économie et à favoriser le progrès social. Ces réformes globales renforcent l'État de droit, l'économie de marché et les droits de l'homme, tout en encourageant l'intégration internationale. À long terme, elles promettent une croissance durable et un bien-être accru pour la population ouzbèke.
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