L'interdiction des sans-abri du gouvernement fait sa première victime à Gödöllő
L'homme a été "pris en flagrant délit" par la police alors qu'il était assis sur un banc dans la rue Kossuth Lajos, rapporte 444 XNUMX.
"Il est bien connu ici, certains habitants lui apportent de temps en temps de la nourriture, ce n'est pas du tout une personne gênante. Il a travaillé comme ingénieur, mais il a perdu sa maison. Il est dans un état pitoyable"
– a décrit son défendeur son avocat public, Zoltán Varga.
Les policiers l'ont accusé de mener une vie de sans-abri, ce qu'il n'a pas nié. Lorsque l'homme a dit qu'il ne voulait pas aller dans un refuge pour sans-abri, mais qu'il préférait rester dans le parc Erzsébet à proximité, ils l'ont emmené au poste de police et l'ont placé en garde à vue. Il a été conduit aujourd'hui au tribunal régional de Gödöllő menotté.
Zoltan Varga, un avocat, a déclaré au 444 que le sans-abri avait essayé d'expliquer pourquoi il ne voulait pas rester au refuge ; car, par exemple, les conflits, les bagarres et les vols y sont réguliers.
La police a demandé une garde à vue de 30 jours contre l'homme, mais le juge assistant (en cas de délit, les juges assistants, qui s'apprêtent à devenir juge, décident) l'a seulement averti, ce qui a été accepté par toutes les parties, donc il y a n'y avait pas d'appel. L'homme devra payer une amende de 20 XNUMX forints. Bien que la police ait pris temporairement ses affaires, celles-ci lui ont été restituées à la fin du procès d'aujourd'hui.
Il a promis qu'il demanderait à ses amis de le laisser rester et s'il n'y parvient pas, il ira au refuge pour sans-abri malgré ses inquiétudes.
Selon Zoltán Varga,
il n'a pas été suffisamment précisé, lorsque son prévenu a été averti par la police, car, conformément à la nouvelle loi, un procès ne peut être engagé contre quelqu'un pour sans-abrisme que si l'on a été averti 3 fois en 90 jours.
La police a mis en garde 27 sans-abri le 15 octobreth, le jour l'interdiction a été promulguée.
En vertu de la nouvelle règle, sans-abri est interdit, ce qui signifie qu'on ne peut pas vivre dans la rue en permanence. Ceux qui enfreignent la règle peuvent être condamnés à des travaux d'intérêt général ou même être emprisonnés. Les autorités sont autorisées à détruire les biens des sans-abri, pour lesquels l'État n'a pas à les indemniser.
Image en vedette: Pixabay
La source: 444.hu.
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