Comment la Suède peut-elle rejoindre l’OTAN ? Orbán conclut un accord massif sur l’armement et l’industrie militaire
Dans son rapport annuel discours d'évaluation samedi, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a annoncé que les discussions avec le Premier ministre suédois Ulf Kristersson concernant l'adhésion de la Suède à l'OTAN étaient sur le point d'aboutir. Alors que la Hongrie joue un rôle central dans ces délibérations, les termes et les résultats potentiels ont été dévoilés, laissant entrevoir la possibilité que La Hongrie pourrait choisir de ne pas opposer son veto à l'adhésion de la Suède à l'OTAN.
Selon Sommaire, l'annonce en matière de défense la plus importante depuis des années est attendue prochainement, coïncidant avec la conclusion du débat autour de l'adhésion potentielle de la Suède à l'OTAN. Les relations entre les deux premiers ministres sont florissantes, marquées par la prochaine visite du premier ministre suédois en Hongrie. Des sources non officielles suggèrent que l'ambassade de Suède en Hongrie prépare déjà son arrivée. En outre, une récente avancée dans la coopération militaire et de défense entre les deux gouvernements est prometteuse pour l'acquisition de nouveaux équipements pour les forces de défense hongroises.
Visions stratégiques
Progrès possibles dans la défense hongroise
Les futurs avions qui pourraient atterrir en Hongrie sont fabriqués par SAAB, réputé pour sa production de chasseurs-bombardiers Gripen. SAAB fabrique actuellement les dernières versions E et F, déjà commandées par la Suède. Ces nouveaux avions disposent d'une capacité de charge utile et d'une autonomie accrues par rapport à leurs prédécesseurs, permettant le transport d'armes plus lourdes et à plus longue portée. De plus, des améliorations ont été apportées aux systèmes radar et électroniques de combat. Dans le cadre de l'accord, les forces de défense hongroises peuvent avoir accès à divers autres systèmes d'armes, notamment une arme portative lancée à l'épaule, souvent appelée artillerie portative, capable d'engager des cibles blindées et autres cibles terrestres. Avec un investissement d'environ 55 millions de dollars, les forces de défense hongroises ont obtenu l'acquisition de cet équipement dont la livraison est prévue entre 2019 et 2024. En outre, les forces de défense renforcent activement leurs capacités de reconnaissance électronique et de combat. La collaboration avec l'industrie de défense suédoise laisse espérer la production d'une gamme d'équipements de pointe, ce qui représente une avancée significative pour les forces de défense hongroises.
MISE À JOUR
Lisez aussi :
veuillez faire un don ici
Nouvelles Hot
Que s'est-il passé aujourd'hui en Hongrie ? — 2 mai 2024
Scandaleux : un adolescent arrêté pour avoir planifié une attaque contre une mosquée en Hongrie – VIDEO
Vous pouvez désormais acheter des billets pour des expositions et des visites touristiques sur les plateformes Wizz Air !
La Marche des Vivants aura lieu ce dimanche à Budapest
Imprévu : les travailleurs immigrés hongrois quittent l’Autriche – voici pourquoi
L'OCDE voit l'économie hongroise se renforcer
1 Commentaires
Il faut vraiment REPOSER la question concernant la PRIORISATION de ce Gouvernement Orban.
TOUT ce qui s’effondre, sous la menace de s’arrêter, voire de disparaître, dans la catégorie des BESOINS de la vie quotidienne des citoyens en Hongrie, et que, par manque de FONDS, la question de la PRIORISATION est ahurissante.
Les citoyens d'abord – ce qui est le mieux pour tous les citoyens hongrois.
Ensuite, quel est le meilleur pour la Hongrie ?
Là encore, à travers les jeux politiques auxquels ce gouvernement sous Victor Orban a joué, a été révélé – l'agenda qu'ILS ont joué concernant l'adhésion de la Suède à l'OTAN – apparaît dans le processus décisionnel visant à « sauver la face », ce qui ne sera pas le cas, c'est IMPECCABLE. .
La Suède continuera à considérer la Hongrie sous Victor Orban avec le scepticisme, l’inquiétude et l’appréhension de MASS.
Propagande – l'« amitié » d'Orbans avec la Turquie n'a-t-elle pas été « florissante » ces derniers mois ?
Nous savons ce que la Turquie a « joué », qui a « honte et embarrassé » Victor Orban et son gouvernement.