Le cabinet Orbán continue de rejeter l'embargo sur le gaz et le pétrole contre la Russie
La position de la Hongrie concernant les embargos sur le pétrole et le gaz russes n'a pas changé, "nous ne les soutenons pas", a déclaré lundi Zoltan Kovacs, secrétaire d'État aux communications internationales, dans un message sur Facebook.
Kovács a réagi aux reportages de la chaîne de télévision allemande ZDF sur la Hongrie, la Slovaquie et l'Autriche retirant leur veto bloquant les sanctions sur les importations de pétrole brut russe dans l'Union européenne.
Citant un haut fonctionnaire de l'UE,
ZDF a déclaré que l'annonce de l'Allemagne de soutenir le veto avait fait pencher la balance, tous les pays de l'UE étant désormais favorables à l'arrêt des importations de pétrole brut russe, en tant que mesure punitive en réponse à l'attaque de la Russie contre l'Ukraine.
L'UE vise à réduire sa dépendance vis-à-vis du pétrole et du gaz russes des deux tiers d'ici la fin de l'année et à zéro d'ici la fin de 2027, a déclaré le commissaire européen à l'économie Paolo Gentiloni.
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MOL
Le groupe pétrolier hongrois, qui exploite trois raffineries en Hongrie, en Croatie et en Slovaquie, continue d'acheter du brut russe via l'oléoduc Druzhba, ainsi que des produits raffinés, indique Reuters.
La société a dit
il faudrait deux à quatre ans et coûterait entre 500 et 700 millions de dollars pour remplacer les importations de pétrole russe en cas d'embargo européen complet.
La source: MTI, Reuters
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6 Commentaires
L'adhésion et les paquets de paiement de Russie - seraient coupés ///.
Le tsar dicte, Vicki le caniche obéit.
Lorsqu'un gouvernement choisit d'utiliser Facebook comme principal moyen de communication concernant ses politiques avec sa population (et au-delà), on sait alors que le gouvernement est un amateur de premier plan et que les fonctionnaires qui utilisent cette méthode sont méprisés. Plus de la moitié de la population hongroise n'utilise pas Facebook.
Dans la constitution de l'UE (à laquelle la Hongrie a adhéré), il existe un mécanisme de dérogation concernant un veto qui peut être appliqué en temps de guerre. Il est possible que ce mécanisme puisse être appliqué à la situation actuelle et alors ce que la Hongrie pense ou veut cesse d'être pertinent. La queue ne remuera pas le chien ! La nation mendiante ne peut pas dicter la dénomination des billets qu'elle veut. C'est l'arrogance qui a mis la Hongrie en difficulté en 1914 et elle n'a toujours pas retenu la leçon.
L'ampleur du nom Hongrie - la "Scaring" et les DOMMAGES en cours, qui se produisent, pour le nom de marque Hongrie - aggravée par FACT, une économie, que tous les composants TENDENT à la baisse - les sonnettes d'alarme continuent de CROÎTRE.
Ceux de la population hongroise, qui ont voté lors des récentes élections nationales, pour voter en faveur du retour à gouverner la Hongrie au cours des (4) quatre prochaines années - le parti Fidesz sous la direction de l'actuel Premier ministre hongrois - Victor Orban - Rappelez-vous – que vous :
(1) – s'approprier – par votre choix de vote.
(2) – sont responsables de ce qui se passe – en cours en Hongrie.
(3) – sont RESPONSABLES – de ce qui se passe – en cours en Hongrie.
Le gouvernement est dans une position «coincée», qui les voit abandonnés des amitiés d'«autres» pays autres que la Russie et la Chine.
Il n'y a AUCUNE échappatoire – comme le soulignent les points 1 à 3 – pour ceux qui ont voté pour le Parti Fidesz.
L'investissement de M. Poutine dans notre Hongrie chrétienne, souveraine et farouchement indépendante, que M. Orban protège de soros et des eurocrates de Bruxelles, semble porter ses fruits !
Rien de tel qu'un cheval de Troie classique