Les responsables ont rendu hommage samedi à la journée commémorative des victimes du communisme.
Dans un discours prononcé dans la capitale, le président du Parlement, László Kövér, a déclaré que la journée commémorative était l'occasion non seulement de rendre hommage à ceux qui ont souffert, mais aussi de déclarer que "nous ne permettrons pas à nos enfants et petits-enfants d'être victimes de nouvelles idées empoisonnées et nouveaux dictateurs ». Il a noté que les périodes communistes de la Hongrie – pendant 133 jours en 1919 et pendant plus de 40 ans à partir de 1947 – étaient à la fois « financées par de l'argent étranger » et comportaient « des réseaux d'agents au service d'intérêts étrangers ».
S'exprimant devant la Maison de la Terreur à Budapest, Gergely Gulyás, le chef du cabinet du Premier ministre, a souligné l'importance de transmettre des histoires personnelles pour informer les jeunes générations de ce que c'est que "l'humanité souffre l'inhumanité", tout en apprenant à apprécier la valeur de liberté.
Lors d'une commémoration à Pócspetri, dans le nord-est du pays, le secrétaire d'État Miklós Soltész a rendu hommage aux victimes du communisme pour avoir ouvert la voie à une période marquée par la paix, la dignité humaine et la liberté de conscience, tant pour les individus que pour les communautés. Lors d'un mémorial pour les travailleurs forcés dans la capitale, le secrétaire d'État Bence Rétvári a déclaré que l'idéal communiste était un «idéal de meurtre», car partout où les communistes sont arrivés au pouvoir dans le monde, des meurtres de masse ont suivi.
La source: MTI
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5 Commentaires
Avec le monde de plus en plus peuplé et interconnecté, et la vie compliquée, l'humanité s'éloigne de la liberté individuelle vers l'autoritarisme et le contrôle. C'est à peu près inévitable. La seule question est de savoir si une masse critique de la population aura suffisamment de motivation, d'engagement et d'intelligence pour contrôler la folie du contrôle de la classe dirigeante, alors qu'elle continue de s'arroger plus de pouvoir, aidée par des politiques de plus en plus indiscrètes et politiques. -les mégasociétés actives du secteur privé. Si l'histoire est une indication, ça va être un NON dur… – hélas.
Le titre disait nouveau dictateur… Je pensais qu'ils voulaient remplacer Orban.
(« Nouveaux dictateurs ») déjà un de trop !
@Michael Steiner :
Il est évident que nous, la «masse critique» hongroise, n'avons pas la motivation suffisante pour réprimer et en finir avec l'autoritarisme. Nous acceptons qu'on nous mente et qu'on nous contrôle (enraciné en nous depuis l'ère du « komcsik ») – accepter ou périr.
_________
Lorsqu'un gouvernement contrôle les médias (et les panneaux d'affichage), il peut déformer les pensées et les opinions des gens, dont certains pourraient même être amenés à croire que la lune est (encore) faite de fromage et qu'Orbán est notre Messie.
Ps.
Correction:
"...dont certains pourraient (encore) faire croire que la lune est faite de fromage, .."
De nouveaux dictateurs en approche ? Il est ici depuis 12 ans